L'éducation des enfants d'Atlas
Sur ce sujet, je ne peux pas dire grand-chose, vu que mes parents sont morts alors que je n'étais qu'un bébé et que je fut adopté loin de l'agence.
Pour l'éducation des enfants, il y'a 3 cas :
1 - Les 2 parents sont espions et l'enfant est élevé au sein de l'agence
2- Un des parents est espion et l'éducation est à la charge du conjoint qui ne fait pas partie de l'agence.
3- L'enfant est placé dans une famille d'acceuil dès son plus jeune âge et il est élevé en dehors de l'agence.
C'est 3 cas, de toute façon, est un vrai casse-tête pour les parents.
Par rapport au cas n°1 : l'enfant se trouve dans une garderie dans l'enceinte du QG de l'agence et quand les parents ne sont pas sur le terrain, alors ils peuvent s'en occuper pleinement.
Cas N°2 : L'enfant est élevé par le parent civil (qui n'est pas espion, je précise) et le parent espion essaye de faire son devoir de parent dès qu'il n'est pas en mission et quand l'enfant grandit, il doit trouver des excuses pour ses absences à répétition. Pour information, quand on est en mission sur le terrain, le parent espion est rarement rentré à la maison pour le dîner tous les soirs.
Cas N°3 : l'enfant est completement sorti du jeu de l'espionnage et ses parents n'ont aucun lien avec ce monde. Cependant, vu que l'agence est une histoire de famille, l'enfant sera protégé par l'agence sans qu'il le sache.
Pour ma part, je fais parti du cas N°3 mais je sais que pour certains de mes collègues, c'est plutôt le cas N°2. Il m'est impossible de savoir lequel des 3 cas est le mieux pour l'enfant. Ils ont tous leurs avantages et leurs inconvénients.
De toute façon, si l'enfant devient un espion à son tour, il agira sur le terrain avec ses méthodes propres à lui qu'il aura acquise tout au long de sa vie pré-espion.
Pour l'éducation des enfants, il y'a 3 cas :
1 - Les 2 parents sont espions et l'enfant est élevé au sein de l'agence
2- Un des parents est espion et l'éducation est à la charge du conjoint qui ne fait pas partie de l'agence.
3- L'enfant est placé dans une famille d'acceuil dès son plus jeune âge et il est élevé en dehors de l'agence.
C'est 3 cas, de toute façon, est un vrai casse-tête pour les parents.
Par rapport au cas n°1 : l'enfant se trouve dans une garderie dans l'enceinte du QG de l'agence et quand les parents ne sont pas sur le terrain, alors ils peuvent s'en occuper pleinement.
Cas N°2 : L'enfant est élevé par le parent civil (qui n'est pas espion, je précise) et le parent espion essaye de faire son devoir de parent dès qu'il n'est pas en mission et quand l'enfant grandit, il doit trouver des excuses pour ses absences à répétition. Pour information, quand on est en mission sur le terrain, le parent espion est rarement rentré à la maison pour le dîner tous les soirs.
Cas N°3 : l'enfant est completement sorti du jeu de l'espionnage et ses parents n'ont aucun lien avec ce monde. Cependant, vu que l'agence est une histoire de famille, l'enfant sera protégé par l'agence sans qu'il le sache.
Pour ma part, je fais parti du cas N°3 mais je sais que pour certains de mes collègues, c'est plutôt le cas N°2. Il m'est impossible de savoir lequel des 3 cas est le mieux pour l'enfant. Ils ont tous leurs avantages et leurs inconvénients.
De toute façon, si l'enfant devient un espion à son tour, il agira sur le terrain avec ses méthodes propres à lui qu'il aura acquise tout au long de sa vie pré-espion.
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Marcello Di Maio Aka 360 Aka Crashtest
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